samedi 2 janvier 2010
Le 12/11/91
Les trottoirs déteignent sur le ciel.
Les nuages chuchotent à la bruine collante
de troubler plus encore
nos yeux dans la pénombre.
Après-midi de novembre au profil de mort.
Les passants frileux
portent dans leurs mallettes
les deuils d’une vie entière.
Les pas glissants sur la chaussée perfide
à l’unisson entament un blues sans appel.
L’eau a le gout du sable triste.
En face se dresse un hôpital pour enfants.
Dans ce brouillard en crête de coq
luisent des yeux purs
qui réchauffent la pensée congelée.
Ce sont les petits aux sourires sans âge.
Les actes des au delà de fièvre
nomme l’espoir défaisant les croyances.
Les nuages chuchotent à la bruine collante
de troubler plus encore
nos yeux dans la pénombre.
Après-midi de novembre au profil de mort.
Les passants frileux
portent dans leurs mallettes
les deuils d’une vie entière.
Les pas glissants sur la chaussée perfide
à l’unisson entament un blues sans appel.
L’eau a le gout du sable triste.
En face se dresse un hôpital pour enfants.
Dans ce brouillard en crête de coq
luisent des yeux purs
qui réchauffent la pensée congelée.
Ce sont les petits aux sourires sans âge.
Les actes des au delà de fièvre
nomme l’espoir défaisant les croyances.
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