samedi 2 janvier 2010
Cendrillon
Cendrillon de l’écrin de la nuit,
de ton gant à la texture de terre,
tu frôlas ma joue
où mourrait une goutte céleste.
Cendrillon des feus
des pays qui se mordent,
sur les croissants de lune,
tu posas ta bouche salée que pleurait l’océan.
Cendrillon des murs sanglants des cités
où résonnent les mâchoires acérées
des rages emprisonnées,
de ton pied parfumé,
tu traversas le sang et les larmes confondues
de tes amants d’un jour
que font hurler les miroirs du souvenir.
Cendrillon des rues
où se gèle l’empreinte du ciel,
reviens de ton gant à l’odeur de peau
frôler mon autre joue.
de ton gant à la texture de terre,
tu frôlas ma joue
où mourrait une goutte céleste.
Cendrillon des feus
des pays qui se mordent,
sur les croissants de lune,
tu posas ta bouche salée que pleurait l’océan.
Cendrillon des murs sanglants des cités
où résonnent les mâchoires acérées
des rages emprisonnées,
de ton pied parfumé,
tu traversas le sang et les larmes confondues
de tes amants d’un jour
que font hurler les miroirs du souvenir.
Cendrillon des rues
où se gèle l’empreinte du ciel,
reviens de ton gant à l’odeur de peau
frôler mon autre joue.
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